Le gouvernement gabonais a décidé vendredi dernier de rompre le contrat avec le concessionnaire français Veolia via la SEEG en matière de distribution d’eau et d’électricité.
La société singapourienne a démenti l'information selon laquelle elle voulait reprendre la Société d'Energie et d'Eau du Gabon (SEEG).
Brice Laccruche Alihanga a sommé le ministre de l’Eau et de l’Energie, et le directeur général de la SEEG de prendre toutes les dispositions pour un rétablissement rapide de l’eau et de l’électricité.
Les pouvoirs publics ont rompu le contrat avec le concessionnaire français. A l’origine, la dégradation de la qualité du service rendu, les plaintes récurrentes des usagers et une non-utilisation rationnelle des ressources mises à disposition.
Elles sont auditionnées dans le cadre de certaines exonérations à elles indument accordés par le fisc.
Cette enveloppe va permettre à l’Etat d’apurer 77% des créances dues aux opérateurs économiques gabonais et étrangers.