Gabon – Ntoum, lève-toi : tous les regards tournés vers Camélia Ntoutoume Leclercq à la veille du second tour des législatives
Libreville, Samedi 1er Novembre 2025 (Infos Gabon) – Demain, la cité ferroviaire et industrielle de Ntoum sera le cœur battant du Gabon politique. Au petit matin du dimanche 2 novembre, les électeurs du 1er arrondissement de la commune seront appelés aux urnes pour le second tour des législatives partielles, un scrutin décisif, chargé d’émotion, de calculs politiques et d’espoirs populaires.
Dans cette course, Camélia Ntoutoume Leclercq, Ministre d’État à l’Éducation nationale et candidate du Parti Démocratique Gabonais (PDG), aborde cette dernière ligne droite avec l’assurance tranquille de celle qui a su convaincre. Arrivée largement en tête au premier tour avec 47,26 % des suffrages, elle affronte Elfox Mbina, candidat de l’Union pour la République (UPR), crédité de 17,09 %. Un duel inégal en apparence, mais hautement symbolique dans un contexte politique où la recomposition des forces locales reste à l’épreuve des urnes.
Une bataille électorale aux airs de plébiscite
À Ntoum, la campagne a été vive, passionnée, parfois poétique. Sur les marchés, dans les quartiers et jusque dans les villages environnants, le nom de Camélia Ntoutoume Leclercq résonne comme un refrain familier, celui d’une femme de terrain, connue pour sa proximité, son écoute et sa gestion pragmatique des affaires publiques. Les électeurs ne s’y trompent pas : derrière la technocrate, ils voient une figure du renouveau, une femme d’action attachée à la justice sociale et à l’éducation des jeunes, deux domaines qu’elle incarne avec rigueur et humanité.
Face à elle, Elfox Mbina, qui bénéficie du soutien de l’Union Nationale et d’un candidat indépendant, tente de fédérer l’électorat de l’opposition. Mais la tâche s’annonce ardue. Le PDG reste solidement implanté dans cette circonscription, et la candidate sortante a su rallier à sa cause l’Union Démocratique des Bâtisseurs (UDB), plusieurs notables locaux, et surtout un mouvement de femmes qui voit en elle un modèle de réussite et de courage.
Camélia Ntoutoume Leclercq, le visage d’un engagement authentique
Si elle attire autant d’adhésion, c’est parce que Camélia Ntoutoume Leclercq incarne cette nouvelle génération de leaders politiques gabonais : ancrée dans la réalité, connectée aux attentes populaires, mais dotée d’une vision claire.
Ministre d’État à l’Éducation nationale, elle a engagé d’importantes réformes pour redynamiser le système scolaire, réhabiliter les infrastructures éducatives et valoriser le métier d’enseignant. À Ntoum, ces efforts se traduisent concrètement par des écoles rénovées, des programmes d’alphabétisation pour les jeunes filles, des campagnes de sensibilisation contre la déscolarisation et d’autres actions de proximité.
Pour beaucoup d’habitants, cette action publique est la preuve que la ministre ne promet pas, elle agit. « Son empathie est un baume sur nos douleurs, sa voix un pont entre peines et valeurs », confie une habitante de Ntoum. D’autres la décrivent comme une “flamme du progrès”, une femme capable d’unir au-delà des clivages.
Ntoum, miroir du changement national
Au-delà du duel électoral, Ntoum devient un symbole. Ce scrutin partiel dépasse le cadre local : il reflète la dynamique nationale de reconstruction politique voulue par le Président de la République, Brice Clotaire Oligui Nguema, et le retour à la confiance entre gouvernants et citoyens. Le choix que feront les électeurs de Ntoum ce dimanche dira beaucoup sur la capacité du PDG à se régener, à incarner une politique de proximité et d’efficacité.
Dans cette perspective, Camélia Ntoutoume Leclercq apparaît comme une figure pivot de cette transition : à la fois ancrée dans la tradition du parti historique, mais ouverte à la modernité, à la transparence et à l’écoute. Sa candidature transcende les discours partisans pour s’inscrire dans une logique de résultats concrets.
Un vote d’avenir
À la veille du scrutin, Ntoum bruisse d’impatience. Dans les quartiers populaires comme dans les zones périphériques, le mot d’ordre est clair : participer massivement pour choisir celui — ou plutôt celle — qui portera la voix de la localité à l’Assemblée nationale. « Le 2, c’est le 2, gravé dans l’histoire », scandent les soutiens de Mme Leclercq, déterminés à transformer l’élan du premier tour en victoire nette.
Mais au-delà de la ferveur partisane, une réalité s’impose : Camélia Ntoutoume Leclercq est perçue comme l’incarnation d’une Ntoum debout, confiante et ambitieuse. Son profil de femme d’État, sa connaissance des rouages administratifs, sa proximité avec les communautés locales et son engagement en faveur de la jeunesse lui confèrent des atouts indéniables.
Ntoum, le jour s’est levé
Demain, Ntoum ne choisira pas seulement un député. La commune choisira une direction, une vision, un style de gouvernance. Si les sondages et la ferveur populaire ne trompent pas, Camélia Ntoutoume Leclercq s’avance vers les urnes comme la favorite naturelle de ce scrutin, forte de sa légitimité, de son bilan et de son ancrage humain.
Alors, quand l’aube se lèvera sur Ntoum ce 2 novembre, ce ne sera pas seulement une journée électorale : ce sera, pour beaucoup, le jour d’un renouveau politique, celui où une jeune femme aura su fédérer l’espoir et redonner foi à une cité en quête de repères. Ntoum, lève-toi. Le jour est venu.
FIN/INFOSGABON/SO/2025
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